PAC : la position de FGC suite aux dernières annonces nationales
Les réformes de la PAC se suivent et se ressemblent...
Les réformes de la PAC se suivent et se ressemblent...
La première lecture du projet de loi climat s’est terminée à l’Assemblée nationale et le texte devra être examiné en séance publique par le Sénat à compter du 15 juin.
Le député du Val-de-Marne Frédéric DESCROZAILLE s’est vu confier par Julien Denormandie la rédaction d’un rapport sur la gestion des risques censé requestionner la place que doit prendre l’État. C’est dans le cadre de cette mission que la CR lui a présenté la position qu’elle défend également dans le groupe de travail dédié au Comité national de la gestion des risques agricoles CNGRA.
La Commission a émis des recommandations aux États membres sur leur plan stratégique national relevant de la politique agricole commune.
Après dix mois de négociations, faisant l’objet de nombreux rebondissements, un accord a été trouvé in extremis fin décembre 2020 entre l’Union européenne et le Royaume-Uni.
Le 31 décembre dernier, le Conseil d’État a interdit définitivement aux maires de prendre des arrêtés interdisant ou limitant l’emploi des produits phytopharmaceutiques sur le territoire de leur commune.
Pour FGC, la démarche de certification doit rester volontaire, mais des associations environnementalistes, avec la complicité de certaines organisations agricoles, militent pour une obligation de certification, conditionnant le versement de certaines aides, PAC (éco-conditionnalité renforcée) ou autres.
Alors que le Ministre de l’Agriculture a annoncé la mise en consultation publique, entre le 4 et le 25 janvier, du projet d’arrêté autorisant provisoirement l’utilisation des néonicotinoïdes pour la betterave (1).
« La mesure du plan de relance portant sur l’aide à l’investissement dans le cadre du plan protéines végétales ouverte le 11 janvier a suscité un grand intérêt. Le nombre très important de dossiers déposés depuis son ouverture nécessite une interruption de la téléprocédure pour permettre un premier bilan des demandes d’aide et s’assurer de leur couverture budgétaire. »
2020 a été marquée par une situation économique, climatique, sanitaire et humaine extrêmement difficile… Une fois de plus nous nous sommes démenés pour porter la voix de TOUS les agriculteurs et proposer des mesures concrètes basées sur notre bon sens paysan.